
Nadège et le rôle de Campus Manager, à l’interface entre l’école d’ingénieur et l’entreprise
Parce qu’on a besoin de renouvellement constant. Mon service est d’ailleurs très représentatif : il y a des personnes qui sont près de la retraite et d’autres fraîchement embauchées. C’est important que les jeunes considèrent qu’ils ont beaucoup à apprendre des anciens, mais aussi que les anciens ont beaucoup à apprendre des jeunes. Autre chose : quand on est face à une offre, il ne faut pas se dire « je n’y arriverai jamais » ou « ils ont demandé telles compétences mais il m’en manque une »... Une grande motivation et une grande volonté peuvent servir de compensation. Mais par contre il faut s’investir, faire preuve de volontarisme et de débrouillardise.
J’ai été identifiée pour assurer le rôle de Campus Manager. Je suis un point d’interface entre l’école d’ingénieur et l’entreprise, je joue le rôle de relais entre les deux. L’idée est de promouvoir Thales au sein de l’école, mais aussi de promouvoir l’école au sein de Thales. Il y par exemple ce qu’on appelle le « Forum Stagiaires » de Thales, où on invite environ 80% de nos stagiaires. L’événement a lieu une fois par an, pour encadrer les stagiaires et les responsables des écoles, et pour leur faire découvrir toutes les activités de Thales. En marge de ces 3 points de rencontres, on essaie de créer des événements pour faire découvrir Thales aux écoles. Il peut s’agir de conférences dans l’école sur des sujets plus ou moins techniques, de visites de sites de Thales pour les étudiants... On participe aussi à des projets techniques menés par des étudiants dans les écoles, en les encadrant, en les accompagnant. Il faut qu’ils acquièrent une vraie maturité technique : on est là pour leur apporter une compétence industrielle et professionnelle.
J’ai connu Thales en 1999, lorsque j’ai intégré une filiale de prestation de Thales. Je connaissais le groupe, et j’aimais bien l’idée d’entrer dans un grand groupe mais en ayant tout d’abord la possibilité de me créer des expériences variées. Depuis, j’ai évolué au fur et à mesure en prenant des responsabilités de manière progressive : en termes de gestion d’équipes de plus en plus importantes, mais aussi en termes de périmètre et de nombre de projets. En tant que prestataire, j’étais responsable de plateaux ou responsable d’équipe pour la prestation. Depuis deux ans maintenant, je suis RIVQ (Responsable d’Intégration, de Validation et de Qualification de Systèmes Adjointe) : j’encadre des équipes d’IVQ. Avant je travaillais sur un seul projet, alors que maintenant j’en ai quatre en parallèle !
Lorsque l’on développe un système, il faut d’abord le concevoir (c’est le rôle des Ingénieurs Systèmes), ensuite le développer (c’est le rôle des Ingénieurs Développement), et ensuite le tester (c’est le rôle des Ingénieurs IVQ). C’est ce dernier rôle que j’occupe : il s’agit de vérifier que ce qui a été développé fonctionne et correspond à l’attente du client. C’est un métier très riche, en relationnel tout d’abord : interface avec les concepteurs, les développeurs, le client, les utilisateurs. C’est aussi un métier très prenant, parce qu’on est en bout de chaîne, et donc souvent avec des contraintes de tenue de jalons. Notre rôle est de savoir comprendre ce que le client attend, mais aussi d’intégrer les contraintes de réalisation… C’est très challenging !
Nadège et le rôle de Campus Manager, à l’interface entre l’école d’ingénieur et l’entreprise
Parce qu’on a besoin de renouvellement constant. Mon service est d’ailleurs très représentatif : il y a des personnes qui sont près de la retraite et d’autres fraîchement embauchées. C’est important que les jeunes considèrent qu’ils ont beaucoup à apprendre des anciens, mais aussi que les anciens ont beaucoup à apprendre des jeunes. Autre chose : quand on est face à une offre, il ne faut pas se dire « je n’y arriverai jamais » ou « ils ont demandé telles compétences mais il m’en manque une »... Une grande motivation et une grande volonté peuvent servir de compensation. Mais par contre il faut s’investir, faire preuve de volontarisme et de débrouillardise.
J’ai été identifiée pour assurer le rôle de Campus Manager. Je suis un point d’interface entre l’école d’ingénieur et l’entreprise, je joue le rôle de relais entre les deux. L’idée est de promouvoir Thales au sein de l’école, mais aussi de promouvoir l’école au sein de Thales. Il y par exemple ce qu’on appelle le « Forum Stagiaires » de Thales, où on invite environ 80% de nos stagiaires. L’événement a lieu une fois par an, pour encadrer les stagiaires et les responsables des écoles, et pour leur faire découvrir toutes les activités de Thales. En marge de ces 3 points de rencontres, on essaie de créer des événements pour faire découvrir Thales aux écoles. Il peut s’agir de conférences dans l’école sur des sujets plus ou moins techniques, de visites de sites de Thales pour les étudiants... On participe aussi à des projets techniques menés par des étudiants dans les écoles, en les encadrant, en les accompagnant. Il faut qu’ils acquièrent une vraie maturité technique : on est là pour leur apporter une compétence industrielle et professionnelle.
J’ai connu Thales en 1999, lorsque j’ai intégré une filiale de prestation de Thales. Je connaissais le groupe, et j’aimais bien l’idée d’entrer dans un grand groupe mais en ayant tout d’abord la possibilité de me créer des expériences variées. Depuis, j’ai évolué au fur et à mesure en prenant des responsabilités de manière progressive : en termes de gestion d’équipes de plus en plus importantes, mais aussi en termes de périmètre et de nombre de projets. En tant que prestataire, j’étais responsable de plateaux ou responsable d’équipe pour la prestation. Depuis deux ans maintenant, je suis RIVQ (Responsable d’Intégration, de Validation et de Qualification de Systèmes Adjointe) : j’encadre des équipes d’IVQ. Avant je travaillais sur un seul projet, alors que maintenant j’en ai quatre en parallèle !
Lorsque l’on développe un système, il faut d’abord le concevoir (c’est le rôle des Ingénieurs Systèmes), ensuite le développer (c’est le rôle des Ingénieurs Développement), et ensuite le tester (c’est le rôle des Ingénieurs IVQ). C’est ce dernier rôle que j’occupe : il s’agit de vérifier que ce qui a été développé fonctionne et correspond à l’attente du client. C’est un métier très riche, en relationnel tout d’abord : interface avec les concepteurs, les développeurs, le client, les utilisateurs. C’est aussi un métier très prenant, parce qu’on est en bout de chaîne, et donc souvent avec des contraintes de tenue de jalons. Notre rôle est de savoir comprendre ce que le client attend, mais aussi d’intégrer les contraintes de réalisation… C’est très challenging !